Il était une fois…

… dans l’ouest.

1er post sur Dead Man’s Hand ou DMH pour les intimes.
Mais qu’est-ce donc ?

Clairement c’est un des jeux de figurines qui m’a le plus amusé depuis de très nombreuses années.
Le côté western spaghetti et souvenirs de mon enfance y sont sans aucun doute pour beaucoup… mais pas que !

Le système de jeu est super sympa et parmi les plus conviviaux que j’ai pu tester.
Nous avons passé des soirées excellentes autour de fajitas, de corona, d’un jeu de poker, avec en tête des répliques plus magiques les uns que les autres :

Tu vois le monde se divise en deux catégories… Il y a ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent… Toi, tu creuses !

Tout le système d’activation repose sur un jeu de poker, et c’est juste un coup de génie !

Du coup sans être sur un système en activation asynchrone qui pourtant évite que l’on parte faire sa lessive, sa déclaration d’impôts et relire tout Isaac Asimov avant de pouvoir jouer à nouveau… le système repose sur le placement semi aléatoire des cartes du jeu de poker qui serviront à définir l’ordre du tour de jeu.
On se retrouve donc parfois à activer une ou plusieurs figurines avant l’alternance.

Je n’y vois que des avantages, puisqu’on ne s’ennuie plus en attendant son tour et on garde un petit côté propre au western où les événements peuvent s’enchaîner et faire que les personnages ne réagissent pas tous dans un ordre immuable.

Voici donc un petit aperçu d’une table.

Quelques vues d’ensemble


Les rues avec un peu de recul


Quelques détails

Les décors sont de chez 4Ground pour les bâtiments, alors que le corbillard et la diligence sont de chez Sarissa Precisions.

On peut voir les photos que le sol est un peu étrange par endroit. Depuis, j’ai enduit et texturé une planche qui me sert de base. Moins sympa visuellement que le papier enduit de sable, mais plus facile pour couvrir toute la table.